André Bouler

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

André Bouler
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata
QuimperléVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
(à 73 ans)
7e arrondissement de Paris
Nom de naissance
André Joseph Louis Marie Bouler
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
PeintreVoir et modifier les données sur Wikidata

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

André Bouler, né le à Quimperlé et mort le à Paris 7e[1], est un pére jésuite et peintre français.

Biographie

Il peint dès l'enfance et dès 1939 exécute à l'huile les portraits de sa famille, des amis, des voisins[2] et aussi les mêmes paysages que Gauguin, quarante années plus tôt, peignait entre Pont-Aven et Le Pouldu.

Très tôt, un peintre, Émile Compard, lui enseigne la leçon de l'impressionnisme qu’il n'oubliera plus. Aussi s'étonne-t-il que Jean Bazaine, du même avis que P. Couturier, directeur de l'Art sacré et l'abbé Morel, amis de Georges Rouault et de Picasso, le dirigent vers l'atelier de Fernand Léger. Il y passe deux années (1949-1951). Forte influence du patron qui lui inculque le sens du monumental, de la force-plastique. Quand progressivement revenu des à-plats cernés de noir, propre à Léger, il retrouve la vibration colorée qui caractérise sa peinture désormais non figurative, il privilégie une structure de construction, parfois secrète, mais toujours solidement installée sous les miroitements les plus subtils. D'où, chez cet admirateur de Claude Monet, Pierre Bonnard, Jean Bazaine, une toujours vive reconnaissance pour son maître Léger.

Il entreprend des études théologiques chez les jésuites en 1943 et est ordonné prêtre en 1955[3].

Œuvres dans les collections publiques

On lui doit plusieurs vitraux, notamment pour les églises de Saint-Laurent de Lambézellec, ou Sainte-Thérèse à Brest, celle de Notre-Dame de la mer à Bénodet, mais aussi la chapelle Notre-Dame de la Paix au Pouldu[4].

Expositions

Expositions collectives

Expositions personnelles

Une exposition[5] lui est consacrée pendant l'été 2014 dans sa ville natale de Quimperlé à la Maison des Archers du 31 mai au 15 septembre, commissaire André Cariou, ancien directeur du musée des beaux-arts de Quimper.

Notes et références

  1. Relevé des fichiers de l'Insee
  2. « André Bouler, jésuite artiste peintre », sur jesuites.com via Wikiwix (consulté le ).
  3. « André Bouler », sur notice BNF
  4. Catalogue André Bouler, édité par la ville de Quimperlé, mai 2014.
  5. « André Bouler », sur site officiel de la ville de Quimperlé (consulté le )

Lien externe

  • Ressource relative aux beaux-artsVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Bénézit
  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • VIAF
    • ISNI
    • BnF (données)
    • IdRef
    • GND
    • Belgique
  • « André Bouler (1924-1997) : La "vibration colorée" (Témoignage de Jean-Marie Tézé, jésuite sculpteur) » (consulté le )
  • icône décorative Portail de la peinture
  • icône décorative Portail de l’histoire de l’art
  • icône décorative Portail de la Bretagne